Erica regarda le petit espace avec un sentiment d'accomplissement. Elle a finalement terminé cette chambre d'amis, un ancien abri anti-bombes dans son sous-sol néanmoins.

Elle avait de la méthode à sa folie. Elle a fini la pièce pour l'utiliser pour l'auto-bondage, une activité qu'elle aimait. Elle s'inquiétait toujours que quelqu'un entre ou que sa famille s'arrête à l'improviste pour utiliser sa clé et l'interrompre. Elle pensait seulement qu'elle connaissait cet abri et la porte qui nécessitait une clé pour le verrouiller de chaque côté.

Plus une cellule qu'un abri, les meubles étaient rares. Elle vient de finir de mettre un vieux lit sur un côté et l'abri avait une demi-salle de bain fermée avec toilettes et lavabo. Auparavant, elle a rempli les armoires sur le mur avec de la nourriture et a mis son équipement sous le comptoir. Avec autant de projets pour la petite pièce, elle espérait passer autant de temps à l'utiliser que son emploi du temps le lui permettait.

Elle a commencé le week-end suivant, décollant vendredi. Elle s'est réveillée tôt, a préparé le petit-déjeuner, a mangé puis est descendue dans la salle de stockage jusqu'à la porte de l'abri. Elle attrapa la clé plutôt grosse du vieux bureau, entra dans la petite pièce puis referma et verrouilla la porte derrière elle.

En plaçant la clé, maintenant sur une chaîne en argent, autour de son cou, elle était maintenant excitée. Tellement de choses qu'elle voulait essayer qu'elle ne savait pas par où commencer. Elle a décidé d'une simple position d'aigle écarté et utiliserait un chronomètre à glace au milieu des quatre cordes. Elle l'a mis en place pour que les cordes aux coins du lit avec de simples nœuds coulissants se desserrent lorsque le chronomètre se relâche.

Elle a sorti une de ses minuteries de glace d'un petit congélateur sous le comptoir et a configuré les cordes en moins de cinq minutes. Elle a regardé à travers ses jouets et a choisi un petit œuf vibrant alimenté par batterie, le laissant pour le moment.

Elle n'avait jamais utilisé de minuteries à glace et ne savait donc pas combien de temps cela durerait, étant complètement pleine et la température autour de 25 dans la pièce. Se préparant mentalement, elle se déshabilla et régla l'œuf vibrant à un réglage moyen bas. Utilisant une culotte en latex, elle la maintint en place sur son vagin et tira la culotte sur sa main, qu'elle retira ensuite lentement.

La culotte, d'une taille ou deux trop petite, tenait bien l'œuf en place. Évitant l'envie d'aider l'œuf à faire son travail, elle a enfilé une robe en latex qui lui est tombée à mi-cuisse, puis s'est approchée de ses bras jusqu'à un ourlet droit avec des bretelles sur l'épaule. Violet foncé, c'était du latex comme la culotte. Elle a attrapé un bâillon boule de taille moyenne sous le comptoir, également v i o l e t.

Se mordant un peu la lèvre à cause du bourdonnement de l'œuf sous la culotte serrée, elle tomba sur le lit installé avec la minuterie au-dessus d'elle. Les cordes traversaient le cadre du lit, puis le haut des barres de tête et d'orteils du robuste lit en acier à l'ancienne. Se positionnant au milieu du lit, elle a passé ses pieds à travers les nœuds coulissants et les a serrés, puis a placé le bâillon dans sa bouche, a tiré ses cheveux de dessous les sangles et les a bouclés avant de se coucher. Elle a glissé ses mains dans les deux autres nœuds coulissants, a fermé les yeux et a tiré ......

Elle a souffert d'une légère panique car c'était l'une des choses les plus intenses qu'elle se soit jamais faites. Continuant à tirer sur les cordes avec ses jambes et ses bras, elle se rendit vite compte que ses tentatives étaient vaines et que toutes ses luttes pour elle étaient des nœuds plus serrés. Pas mal à l'aise, elle avait une des meilleures cordes de bondage qu'elle pouvait trouver. Il ne restait plus qu'à regarder la minuterie au-dessus de sa tête et à profiter du vibromasseur, et c'est ce qu'elle fit.

"MMMMMMMMMHHPPPHH !!!" Elle a crié dans le bâillon alors qu'elle arrivait à l'orgasme, tirant les cordes plus fort alors qu'elle essayait de rapprocher ses jambes et d'atteindre ses mains pour l'aider; la troisième fois en deux heures. Elle avait une horloge sur le mur visible depuis le lit mais n'avait aucune idée de combien de temps il faudrait avant la libération, mais elle le voulait ainsi. Ne pas savoir était douloureusement agréable pour elle.

Elle a continué à étouffer les mots, à gémir et à pleurer. Des larmes lui coulèrent le visage. J'avais l'impression que quatre heures s'étaient déjà écoulées. L'ourlet de sa robe en latex roulait jusqu'au haut de ses cuisses avec ses jambes écartées comme elles l'étaient. Pourtant, dans son impuissance, elle a baissé la tête et a essayé de se détendre, mais en vain, le vibrateur bourdonnant toujours sans fin en vue

• CRASH *

"MMMMMMHHP !!!" elle a laissé échapper quand elle a entendu quelque chose tomber à l'extérieur de l'abri anti-bombes. Elle ne pouvait pas comprendre ce qui s'était passé car il n'y avait rien à tomber dans l'autre pièce. Elle ne pouvait pas voir à l'extérieur de la porte mais se sentait en sécurité en sachant que la clé était sur la chaîne autour de son cou. Elle n'entendait plus rien d'autre que le vibreur. Elle a également mis l'alarme de la maison et son téléphone portable serait appelé par la société de sécurité s'il se déclenchait. Elle devrait s'occuper de sa fuite.

*SMACK * "MMMPHHP!" Elle n'avait pas pensé à l'endroit où le chronomètre tomberait. Il l'a frappé au front. Elle roula sur le côté en déliant ses poignets puis tendit la main vers sa culotte et attrapa l'œuf. Avec un soupir de soulagement, elle l'éteignit en le posant sur le lit à côté d'elle. Elle regarda l'horloge sur le mur; le chronomètre a duré six heures. Elle défit les cordes sur ses chevilles et se recoucha, sans se soucier du bâillon de balle.

Cela ne la dérangerait pas si quelqu'un ne la voyait pas. Elle ne pouvait jamais admettre qu'elle avait quelque chose comme ça. Elle mettrait plus tôt une ceinture de chasteté permanente. Elle frissonna, pensant juste à la chasteté. C'était un fantasme très attrayant, mais elle ne pourrait jamais se maintenir dans une ceinture de chasteté et ne ferait jamais confiance à personne pour le savoir, encore moins le contrôler en leur donnant des clés. Cette pensée a toujours fonctionné pour la dissuader. Elle n’en avait acheté une simple en cuir à défaut d’une vrai.

Elle a regardé l'horloge et il a lu 11h00. Réveillée depuis 5h00 du matin, elle voulait plusieurs séances d'auto-bondage aujourd'hui, alors elle a ramassé la corde, a rempli le minuteur et l'a remis dans le congélateur. Elle a enlevé le bâillon de sa bouche, l'a lavé et l'a remis à sa place tout en réfléchissant à ce qu'il fallait faire ensuite. Elle alla aux toilettes et se remplit d'un verre d'eau à boire en réfléchissant. En buvant, elle fit la grimace au goût affreux et se dit que l'adoucisseur d'eau ne fonctionnait plus.

Décidant d'utiliser un vieux crochet à œil dans le plafond, Erica passa une corde à travers les anneaux en D de ses poignets en cuir, à travers le crochet à œil et jusqu'à une minuterie de glace attachée à un vieux crochet dans le mur bas hors de portée. Elle a employé un épandeur mais pas un vibrateur; en réfléchissant à ses fantasmes de chasteté, elle voulait le déni du plaisir comme paiement pour les orgasmes précédents.

Sinon entièrement configuré, elle a choisi un bâillon papillon gonflable avec un bâillon annulaire pour le maintenir en place. Elle les fit entrer dans sa bouche puis boucla l'anneau derrière sa tête en tirant ses cheveux de dessous la sangle. Elle a pompé le papillon gonflable en laissant échapper des gémissements extatiques alors qu'il remplissait sa bouche si pleinement. Elle le pompa un peu trop mais le laissa ainsi pensant que cela la tiendrait d'autant plus silencieuse.

Elle a gréé la barre d'écartement, bien qu'elle n'écarte pas trop ses jambes. Pourtant, cela suffisait pour qu'il soit très difficile pour elle de se stimuler. Elle se releva, l'ourlet de sa robe retroussé et bien que personne ne l'ait vu, elle le savait et rougit de montrer sa culotte. S'appuyant sur le petit tabouret qu'elle a placé sous l'œilleton lorsqu'elle a gréé les cordes, elle a mis ses mains dans les poignets, les a resserrées et est descendue du tabouret pour sentir ses bras et ses poignets se rapprocher. Ses pieds touchaient à peine le sol.

«Heureusement que j'ai ajouté un peu plus de corde que je ne l'avais imaginé», pensa-t-elle alors qu'elle se tenait étirée dans la petite pièce, une culotte apparaissant sous sa robe. Bien bâillonnée, vous ne sauriez jamais qu'elle a essayé de crier au meurtre alors que la tension l'étirait comme elle le faisait.

Inexplicablement, alors qu'elle se tenait là, elle s'est soudainement sentie extrêmement somnolente. Malgré tous ses efforts pour rester éveillée, elle s'est endormie, en tombant, elle a décidé que ce n'était pas de la fatigue qu'elle ressentait, elle se sentait… d r o g u é e. La dernière pensée à travers sa tête fut: Comment ai-je été d r o g u é e… » Erica s'affaissa dans ses liens et dormit sans rêve.

• SNICK-SNICK-SNAP * * SLAP * étaient les bruits d'un assaillant inconnu qui a saisi la serrure de la porte. Bien qu'ils aient fait écho à travers le petit abri anti-bombes, dans son état inconscient, Erica n'a jamais bronché devant la menace qui se manifestait lorsque la porte s'ouvrait.

Un homme vêtu d'un costume gris moyen, d'une chemise rouge et d'une cravate rouge et beige… et une épinglette en nickel de buffle sur son revers est entré. L'homme de race blanche avait l'air d'avoir la vingtaine.

Il s'est déplacé rapidement et a pris des photos d'Erica sous plusieurs angles devant et derrière avec un petit appareil photo reflex numérique. Il a ensuite regardé à travers la pièce et dans les armoires pour trouver et noter ses jouets. Il prit l'œuf vibrant qu'elle utilisait plus tôt, le tourna en bas et retira sa culotte de sa peau pour pousser l'œuf en place. Ensuite, il regarda son mécanisme de libération et fit une substitution à ce qu'il avait caché dans son costume.

Il a pris avec appréciation plusieurs autres photos et un gros plan de son visage, puis a gonflé son bâillon gonflable. Satisfait de ses poches dans sa bouche, il sortit de la petite pièce, ferma la porte et alluma l'alarme pour elle alors qu'il sortait, verrouillant la porte d'entrée derrière lui.

Erica se réveilla brusquement alors que la d r o g u e utilisée sur elle fonctionnait hors de son système. Elle a paniqué un instant en constatant le vibrateur avec horreur! "D'OÙ VIENT CELA?!" elle a crié dans son bâillon apparemment devenu plus gros. En pleurant, elle a noté qu'elle n'avait jamais entendu un son de ses cris. Les larmes coulaient sur son visage.

Sa mâchoire lui faisait mal et elle était stimulée par le vibromasseur, elle se rapprochait de plus en plus de l'orgasme pour tomber en manque de frustration continue. Elle criait et criait à l'aide à travers son bâillon, ne se souciant pas si quelqu'un la voyait, mais trouva cela sans espoir car son bâillon doublé ne laissait s'échapper aucun son de sa gorge.

Se tordant dans ses liens cherchant à s'échapper, elle découvrit que sa libération avait en quelque sorte changé. Elle regarda l'horloge pour voir qu'elle était inconsciente pendant près de quatre heures. Voyant son chronomètre sur le sol près du crochet et ne sachant pas ce qui avait remplacé sa libération, elle savait qu'elle ne pouvait pas améliorer sa situation. Tout ce qu'elle pouvait faire était de se tenir dans le tourment de la taquinerie du vibrateur. Elle ne pouvait même pas toucher les poignets en cuir qu'elle avait bouclés sur elle-même mais admirait leur confort malgré la situation.

Malgré son excitation douloureusement accrue, elle se tenait dans une frustration totale alors que le vibrateur en bas la maintenait au bord mais ne la laissait pas jouir. Elle redoutait de regarder en bas, peut-être de se retrouver dans une ceinture de chasteté au design sinistre qui continuerait à la taquiner et quand elle s'arrêterait finalement, la nierait toujours. Elle voulait presque que ce soit la conclusion malgré les sentiments d'horreur qui l'envahissaient, mais quand elle le regarda, elle poussa un soupir de soulagement en ne voyant que sa robe froncée à sa taille et sa culotte tenant fermement l'œuf à l'intérieur.

À son grand soulagement, après trois heures, l'engin derrière elle sur le mur l'a lâché et elle est tombée au sol. Séparant ses bras, elle a mis la main dans sa culotte en latex et a allumé le vibromasseur et pour la première fois depuis qu'elle avait mis le bâillon dans sa bouche, elle pouvait s'entendre pousser un cri si fort qu'on pouvait entendre: «MMMMMMMMMMMMPPPHHHHH !!!! "

Alors qu'elle restait allongée là, incertaine si elle pouvait se relever du sol, elle lutta pour retirer l'œuf et l'éteindre, humide comme il l'était. Elle resta allongée quelques minutes jusqu'à ce qu'elle puisse s'asseoir, puis retira le bâillon de sa bouche, le dégonflant du petit bouton au-dessus de la pompe. Elle a enlevé la barre d'écartement puis s'est dirigée vers la nouvelle version pour s'émerveiller du petit dispositif de minuterie. Il semble que vous ayez mis un morceau de corde noué à travers les tubes à chaque extrémité de l'appareil et qu'il retienne les extrémités d'une manière ou d'une autre. Il semble qu'il pourrait également être utilisé dans plusieurs autres capacités.

Elle a nettoyé les cordes et enlevé ses menottes. Elle a mis le nouvel appareil au-dessus du mini-congélateur dans lequel elle gardait les minuteries, puis est allée dans la salle de lavage et a nettoyé l'œuf. Elle ôta sa culotte pour la laver également, mais quand elle se pencha pour les enlever, elle se pencha au-dessus du lavabo; la clé de la porte tomba dans le bassin. Quand elle s'est levée, la clé s'est accrochée au robinet de l'évier. Tombant dans l'eau courante, la clé descendit dans le drain assez large.

"Non!" s'exclama-t-elle en fixant le drain de l'évier avec horreur et, trop tard, ferma le robinet. Essayant de garder son sang-froid, elle se dirigea vers la chambre toujours à moitié nue et ouvrit l'une des grandes armoires. Elle attrapa son petit sac d'outils puis retourna à la salle de lavage. Elle a utilisé une clé à pipe pour retirer le siphon de sous l'évier et a regardé de travers sa courbe de code du bâtiment pas tout à fait. À son horreur continue quand elle a regardé dedans, elle n'a vu aucune clé! Il semblait être passé !

Elle retourna dans la chambre et éclata en sanglots en se jetant sur le lit, face contre terre. Elle savait qu'elle ne pouvait pas simplement appeler un serrurier parce qu'elle avait activé l'alarme de sa maison. De même, elle ne pouvait pas simplement appeler ses amis; ils ne savaient même pas que cette pièce existait. Ce n'est pas comme s'ils pouvaient aider, elle avait perdu la clé. Elle ne pouvait pas ouvrir la porte; étant un abri anti-bombe et ayant besoin d'être résistant aux chocs, il a été conçu pour que vous ne puissiez pas.

Elle se sentait impuissante et frustrée de se piéger en tant que prisonnière dans sa propre maison. Enfermée dans une pièce de son sous-sol, le seul espoir qu'elle pensait pouvoir avoir serait que la personne qui était entrée auparavant revienne. Ils n'auraient pas pu simplement faire ça et partir! Elle n'osait plus boire dans cet évier mais elle avait environ 50 bouteilles d'eau dans ses armoires et de la nourriture pour durer un moment… en pensant à ces pensées, elle sentit son pire scénario se produire. Elle a laissé son téléphone dans la poche de son jean quand elle s'est déshabillée à la hâte, jetant tous ses vêtements dans une pile. Hors de ses liens pendant environ 45 minutes et maintenant calme, elle entendit son téléphone bip; le bip qu'il fait quand la batterie est vidée.

Elle a pensé: «Eh bien, si je dois mourir ici, je peux aussi bien m'amuser. C'est la raison pour laquelle je suis ici. Peut-être que celui qui a quitté le chronomètre ne reviendra que si je suis lié. C'est un sacré coup de loin, mais qu'est-ce que j'ai d'autre? Si d'une manière ou d'une autre il regarde, ça doit être quelque chose d'aussi fou », pensa-t-elle,« quelque chose d'aussi scandaleux qu'il devrait savoir que je signale une intervention d'urgence… mais quoi? Sûrement "pas de libération" le ramènerait… assez stupide, fille, que la seule issue pourrait être de faire quelque chose d'aussi fou; tellement fou que vous vous tuez ... alors, quelque chose d'extraordinaire!

Décidant de ne pas mourir jeune, elle a mieux pensé à l'option «sans libération». Elle a changé sa tenue pour un T-shirt soyeux sans soutien-gorge. La chemise elle-même l'excitait, caressant ses tétons maintenant eux-mêmes excités par sa quasi-panique. Puis elle a ajouté une ceinture de chasteté en cuir pour contenir les jouets, dont la sensation la poussa à grimper le mur avec sensation. Elle l'a utilisé pour tenir un gode vibrant et un plug anal qui se gonfle et vibre automatiquement, tous deux avec des télécommandes attachées. Elle ne savait pas exactement où se trouvait la clé de la serrure en laiton qu'elle utilisait sur la ceinture de chasteté mais elle ne pensait pas que cette ceinture constituait un danger maintenant, vivre à travers l'embarras. Même pas activés, ils l'ont rendue folle de désir!

Elle s'est attachée dans un harnais en corde avec cinq points d'appui. La cinquième était dans sa partie médiane où elle a attaché un de ses chronomètres à glace et celui-ci au crochet à œil dans le plafond. Il y avait quatre crochets pour les yeux, un sur chaque mur, qu'elle utilisait. Quatre autres cordes sont allées au crochet à œil ci-dessus puis se sont fendues, une à chaque crochet à œil sur les murs auxquels elle a attaché un membre à chacun.

Elle a noué des nœuds coulissants aux extrémités de toutes les cordes, puis a attrapé celles qui lui tenaient la main. Les coupant près de son corps, elle a noué les extrémités et a introduit deux extrémités chacune à travers les tubes de l'appareil laissé par son agresseur inconnu et l'a réglée pendant 12 heures, car la glace en a duré six. Retombant sur le support de la cinquième corde et après quelques difficultés, elle resserra les nœuds coulissants de ses deux chevilles et ne put plus toucher le sol.

Maintenant suspendue tout droit quand le cinquième point était pour le chronomètre. Le mou dans les cordes serait pris en écartant ses bras et ses jambes en tirant sur les points d'appui et en resserrant la corde d'entrejambe qu'elle enroulerait autour de son torse et les lanières de cuir plutôt petites sur la ceinture de chasteté. Elle pouvait dire qu'il ferait son travail quand il se resserrait.

Elle inséra à nouveau son bâillon papillon, autant qu'elle n'aimait pas la douleur dans sa mâchoire la dernière fois. Elle a bouclé l'anneau de soutien bâillon derrière sa tête et a gonflé le papillon. Elle a pleuré de choc alors qu'il se développait, même si à ce moment-là vous n'auriez rien entendu d'accepter son inspiration soudaine. Satisfaite du bâillon, elle attrapa le dernier élément; un bandeau en soie avec de la dentelle sur les bords. Il était trop attaché à l'arrière de sa tête.

Elle a cherché les deux télécommandes pour ses jouets et a découvert une fois qu'elle avait glissé ses mains à travers les nœuds pour ses poignets. Tenant une télécommande dans chaque main, elle a fermé les nœuds coulissants, a réglé le gode pour faire une allumage aléatoire qui laissait environ 1 chance sur 1000 par heure qu'elle jouisse, puis a réglé le plug anal pour qu'il se gonfle à son plus grand et vibre dessus. haute. Sans tarder, elle laissa tomber les télécommandes au sol scellant son destin. quand elle a ouvert les yeux, elle a remarqué quelque chose, l'ancien équipement radio HAM. elle eut un sentiment horrible en se souvenant de la clé cachée sous la table sur laquelle l'équipement était posé. Elle haleta sous le choc en pensant à ce qu'elle venait de se faire. Il a fallu quelques secondes à ses jouets pour s'activer. Quand ils l'ont fait, elle a réagi en tirant sur toutes ses cordes, cela resserra la corde d'entrejambe rendant les taquineries plus intenses. Elle ne ferait plus cette erreur.

Elle a géré la douleur et les taquineries. Le vibromasseur la tourmentait sans fin, commençant, s'arrêtant juste au moment où elle commençait à en profiter, puis rugissant à nouveau juste au moment où elle se refroidissait; mais elle a enduré ne pas avoir le choix. Pendant les six premières heures, elle crut sentir la minuterie écraser de plus petits morceaux de glace à moitié fondus sous son poids corporel, elle coupa toutes les autres stimulations alors qu'elle grinçait pour le soudain ... * CREEK * «MMMMMMMMMMMPPPPPPPPHHHHHHHHHHHMPHH !!!! "

Ce n'était pas aussi grave qu'elle le pensait, mais avec le temps, le poid et la suspension la tuaient. Elle perdit son sang-froid à ce moment-là, et le temps que l'appareil relâcha ses mains de leurs positions tendues, elle tendit impulsivement la traction sur sa corde d'entrejambe sans réfléchir et ... * CRASH !! * elle chuta.

Erica s'assit et se frotta le dos pour soulager une partie de la douleur de la chute soudaine, puis alla chercher les télécommandes pour les deux jouets sous la ceinture en cuir… pour les éteindre. Elle dégonfla et retira le bâillon de sa bouche et chercha la clé de la serrure sur la ceinture qui retenait les jouets à l'intérieur d'elle.

À sa joie, elle l'a trouvé juste au-dessus du comptoir. Elle enleva tous les objets de son corps, s'habilla avec ce dans quoi elle était entrée, puis alla dans la petite salle de toilette pour se soulager. Une fois cela fait, elle est sortie vers ce dont elle se souvenait alors qu'elle était liée; la clé supplémentaire attachée au bas de la vieille table radio HAM En poussant un soupir de soulagement, elle récupéra la clé, ouvrit la porte, passa et verrouilla la porte derrière elle en se disant qu’elle ne reviendrait plus jamais dans cette la pièce.

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